Les faits ce sont déroulés en 2007, au sein même de l’unité de la FIR, un élément du colonel Félix Abalo Kadangha dénommé Akouzou, sergent de son état, en est la victime.
Le Sergent aurait été accusé par le maitre des lieux de lui avoir volé la somme de 1.500 euros soit environ (1 million franc CFA). Le maitre tout-puissant des lieux ordonna à ses éléments de « corriger » le sergent Akouzou. Le dernier coup fatal fut porté par le tout-puissant lui-même à la tête du malheureux sergent. Il décèdera quelques instants plus tard. Le jeune Sergent des FAT fût enterré dans son village à Bowou situé environ à 4 km au nord de Kara.
Le père du feu sergent Akouzou de la victime n’accepta pas cette injustice barbare et cruelle au sein de la grande muette, et a voulu demander des comptes au tout-puissant semeur de terreurs dans cette caserne. Il fût arrêté et enfermé à la prison civile de Dapaong à l’extrême nord du pays sans aucun jugement.
Eh oui ! Une double injustice à cause d’un tout-puissant semeur de terreurs.
Les soldats qu’on assassine dans les casernes au Togo sont nombreux. Les familles de ces derniers n’ont pas le droit de dire quoique se soit au risque de se faire tout simplement éliminer physiquement à leurs tours. Certaines personnes, pour un oui où un non enlève la vie de leurs semblables sans inquiétude et sans justice.
Voilà ce qui se passe en réalité dans les garnisons depuis des décennies sur la terre de nos Aïeux.
Ainsi va le « royaume » des Gnassingbé.
La Nouvelle