Deux mois déjà… Deux mois de violences verbales et physiques, deux mois d’impostures sur fond d’ignorance et d’invouloir… En réalité, deux mois d’une nouvelle honte nationale orchestrée par la bande à Faure Gnassingbé…
Et pourtant… C’est bien une obligation constitutionnelle –sans même que cela ne leur soit demandé, une prescription qui s’impose exclusivement aux organisateurs de la Présidentielle du 22 février 2020, de produire toutes les données jusqu’au plus petit niveau, urne par urne, bureau de vote par bureau de vote, et sur toute l’étendue du territoire électoral.
Pendant trop longtemps et par, nul ne sait quelle magie, toute la classe politique de l’opposition avait comme consentie à faire le travail de la CENI et du gouvernement, les organisateurs des élections au Togo, faire le boulot de ces deux entités à leur place : la collecte des procès-verbaux des bureaux de vote desquels les représentants des partis politiques et candidats de l’opposition étaient le plus souvent chassés et violentés d’ailleurs…
C’est le défaut par la CENI et le gouvernement de remplir leurs obligations constitutionnelles et celles relevant du droit international qui les y astreint qui, une fois que l’ANC s’est recalée dans le contexte togolais, c’est ça qui fait droit à Agbéyomé Kodjo de prétendre à la victoire et de la réclamer, avec une grande conviction scientifique qui n’a pas besoin d’être 100% des PV. Aucunement…
Au lieu de la victoire, c’est un procès inique qui est servi au gagnant légitime et légal de la Présidentielle, aujourd’hui même, deux mois jour pour jour… Une inculpation et un procès de la honte qui ne peuvent exister que devant une juridiction partiale et aux ordres… Agbéyomé Kodjo ne s’est pas autoproclamé Président ; Agbéyomé Kodjo est bel et bien le Président élu des Togolais…
Les faits de droit, de sociologie, de démographie, de politique et d’Éthique donnent parfaitement raison à Agbéyomé Kodjo. Aussi longtemps que le Togo est concerné, Gabriel Messan Agbéyomé Kodjo est le gagnant de la Présidentielle du 22 février 2020…
Pierre Adjété
Le peuple togolai attend quoi pour chassés se démon de Gnassingbé. Se gamin n’est pas plus fort que vous. On a vue Blaise comparé il se croyais le plus fort. Ses en Afrique et par la complexité de la France que ses bêtises se passent. Peuple togolai prenez votre destin en mains et chassés se bandit.