
En cette période de grande crise sanitaire qui secoue le monde, l’on note l’indifférence, voire même l’impuissance du gouvernement Gnassingbé dans la gestion de l’épidémie dans notre pays. En effet, voilà un moment idéal pour les autorités corrompues de Bassar de faire la chasse aux faux sorciers.
L’affaire remonte au 28 Novembre 2019 à Bangeli dans Histoire de l’enfant volé qui a conduit à des violences entre la communauté des Dadjins (Adja) et la population autochtone de Bangéli qui vivaient jusque-là ensemble. Face à cette situation d’enlèvement d’enfant, aucune autorité administrative, politique n’a réagi à ce propos. Mais c’est avec regret que nous assistons en ce jour du 25 Mars, l’interpelation de plus d’une quarantaine personnes au Tribunal de Bassar par le juge d’instruction Monsieur KAZOULE qui est toujours au service du sieur Akla (le cerveau du vol d’enfant qui se plein de sa marchandise vandalisé).
Convoqué, ce 25 Mars, ils étaient 09 sur 11 à comparaître pour la même date et après plusieurs heures d’audition, il leur a été interdit pour tout voyage et déplacement hors du canton de Bangéli sans l’avis du Tribunal.
Pour les autorités du grand Bassar, comme les autorités voyous de la république togolaise; le bien matériel a de la valeur que l’être humain…
Mais nous prêterons serment que la population de Bangéli ne se laissera plus jamais avoir par une Bande de voyous dépourvues du bon sens, et nous mettons en garde les autorités de Bangéli chercherons à vendre pour une énième fois notre dignité.
Aux autorités du grand Bassar et aux juges: » Vous voulez les biens détruit, Donnez-nous notre Enfant »
Quand on refuse, on dit NON
Un digne fils Bassar